Dear friends, please do not hesitate to inform me of any errors in English to improve the translation. Thank you.

BLOG

Icons secrets

22/05/2020

Icons secrets

It's a homoerotic version of the Pietà by Michelangelo, iconic sculpture of the Virgin Mary crying for her son. She holds him on her knees, after the descent of the Cross.

Here, the female character is replaced by a man. A male authority, a master ? God Himself ?

On the feet and hands of the Slave, the stigmata of crucifixion turned into tattoos.

As the Risen Christ, the Slave, down for now, will come back to life.

 

My second inspiration comes from Robert Mapplethorpe and his iconic photography Ridley and Lyle Heeter. We can see a leather Master, holding a riding crop, standing by the chair where his slave sits, chained. An evocation of the traditional representation of a heterosexual bourgeois couple : the husband doesn’t leave the seat to his wife only out of courtesy, but also to express his domination over her.

Here, we imagine the rest, after the sexual celebration : the chains are broken, the whip has long  replaced the riding crop, the Master is resting and supports his exhausted Slave. He defies us with the same proud and assumed gaze than in the Mapplethorpe photography.

His appearance reminds clearly the Tom of Finland iconography.

 

The last reference, more subtle, is the labyrinth we can notice on the floor, the same as on the ground of the Chartres Cathedral, in France. The chair of the Master is placed in its centre.

Like two pilgrims, Master and Slave are walking on the path of pain and pleasure, with mutual trust, opening up, step by step, to what’s beyond them, to find the meaning of their life.

 

I hesitated before naming this work Icons.

I almost named it Love. Isn’t Love a narrow way between suffering and happiness ?

Les secrets de Icons

22/05/2020

Les secrets de Icons

Icons est sans doute l’une des œuvres les plus significatives de ma démarche artistique.

C’est une version homo-érotique de la Pietà de Michel-Ange, sculpture iconique de la Vierge Marie pleurant son fils, qu'elle tient sur ses genoux après la descente de Croix.

Ici, la figure féminine a pris les traits d’un homme. Une autorité masculine, un maître ?... Dieu lui-même ? Sur les pieds et les mains de l’Esclave, les tatouages ont remplacé les stigmates de la crucifixion.

Tout comme le Christ ressuscité, l’Esclave, pour l’instant terrassé, reviendra à la vie.

 

La deuxième inspiration vient de Robert Mapplethorpe et de son iconique photographie Ridley and Lyle Heeter. On y voit un Maître SM, tenant une cravache, debout près d’un fauteuil où est assis son Esclave enchaîné. Une évocation de la représentation traditionnelle du couple hétérosexuel bourgeois : le mari ne laisse pas le siège à sa femme seulement par courtoisie, mais pour marquer sa domination sur elle.

Ici, on imagine la suite, après la célébration sexuelle : les chaînes sont brisées, le fouet a depuis longtemps remplacé la cravache, le Maître se repose et soutient son Esclave épuisé. Il nous défie de ce même regard fier et assumé que dans la photo de Mapplethorpe, tandis que son apparence rappelle sans détour l’iconographie de Tom of Finland.

 

La dernière référence, plus subtile, est celle du labyrinthe qu’on aperçoit sur le sol, réplique de celui de la Cathédrale de Chartres, en France. Le fauteuil du Maître est posé en son centre.

Tels deux pèlerins, Maître et Esclave marchent sur le chemin de la douleur et du plaisir, dans une confiance mutuelle, s’ouvrant pas à pas à ce qui les dépasse, pour trouver le sens de leur existence.

 

J’ai longtemps hésité avant de nommer cette œuvre Icons.

Elle a failli s’appeler Amour. Car l’Amour ne chemine-t-il pas entre souffrance et bonheur ?

Pacific Colour

13/06/2019

Pacific Colour

Les pros de la sublimation 2D et 3D se trouvent en banlieue parisienne à Bonneuil.

A savoir que la technique de sublimation s'applique aussi en 3D, sur toutes sortes d'objets et matières.

 

http://www.decoration.solutions/accueil-1-1.htm

Le procédé de sublimation

13/06/2019

Le procédé de sublimation

Léger par la finesse de l'aluminium

Avec une épaisseur de 1,17mm, les tableaux nécessitent une accroche simple. Le poids est de 3kg/m2 sans encadrement et de 4 à 4,5kg/m2 selon l’encadrement choisi.

 

Résistant à l'humidité sans aucune altération

Les tableaux aluminium ne rouillent pas. Ils peuvent être exposés dans toutes les pièces de la maison y compris la salle de bain, la cave et même à l’extérieur.

 

Résistant UV avec une tenue imbattable

La haute qualité de traitement anti-UV des tableaux apporte une longévité des couleurs 4 fois supérieure aux meilleurs tirages photographiques traditionnels.

 

Résistant aux rayures grâce à une dureté incroyable

Le traitement de surface des tableaux pour sublimation photographique est garanti avec 7 épaisseurs au minimum de vernis. Cette finition confère une barrière hautement protectrice.

Résistant à la chaleur avec une santé de fer de -50°C à +50°C

Les propriétés de l’aluminium et celles des encres organiques utilisées permettent d’envisager de décorer les plaines de Sibérie et les dunes du Sahara.

 

D'entretien facile qui mérite la douceur de la ouate

L’usage d’un chiffon doux est recommandé, humidifié de produit pour vitre.